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PODCAST #7 : La richesse du vide, du rien

Hello, j'espère que tu vas bien ! Ravie de te retrouver dans ce nouvel épisode du podcast. C'est un sujet que j'avais envie d'aborder depuis un petit temps… Il était dans mes petites notes là, quand je captais des nouvelles idées, et je pense que c'est un sujet qui est très important. C'est quelque chose que j'ai expérimenté (aussi beaucoup en ce moment) et donc ça me paraissait un peu une évidence de t’en parler, surtout que pour le moment, je suis vraiment dans une réflexion assez profonde autour des réseaux sociaux, autour de tout ce que je mets en place, ce que je crée, la manière dont je propose tout ça… Et j'avais envie de venir te partager tout ça, tout simplement, dans un épisode, et surtout d’apporter des clés par rapport à ce vide, à ce rien dont on a si peur.


Le vide fait peur… et c’est normal


Alors, c'est vrai que je reçois des messages très fréquemment sur cette peur du vide, cette peur du rien, cette peur de ces moments de néant où on a un peu perdu, ces moments de brouillard… La plupart du temps, oui, ça fait peur ! Pareil quand moi je parle beaucoup de danse libre à travers la méthode Bloom Dance etc., il y a tellement de personnes qui me disent à chaque fois : “J'ai tellement envie de venir tester, c’est quelque chose qui m'appelle mais je ressens la peur de juste être là et de danser. Laisser faire le corps, c'est quelque chose qui me fait terriblement peur !”. Pourtant, je t'assure que c'est un truc d'une puissance incroyable ! D'ailleurs, j'en profite pour te dire que la prochaine session Bloom Dance en ligne se déroulera le 21 avril donc n’hésite pas à t'inscrire si ça te dit. Et donc tous ces espaces où on laisse faire, on laisse être en fait… Finalement, ça génère souvent beaucoup de peurs.


Surtout aujourd'hui, dans notre monde actuel. Je crois qu'il y a beaucoup de questionnements. Beaucoup de personnes commencent quand même à se remettre en question par rapport à tout ça mais on reste dans un rythme de vie où on doit tout le temps faire, produire, être dans la productivité, dans le multi-tasking… On doit vraiment faire plein de choses en même temps et il y a toujours cette recherche de toujours grandir, toujours plus, toujours étendre, toujours gagner plus d'abonnés… Du coup, je trouve que l’on s'y perd et c'est devenu quelque chose de presque “normal” de tout le temps être occupé. Même quand on a des moments d’espace, eh bien on va écouter un podcast, mettre de la musique, toujours essayer de combler. On comble ce silence qui nous fait si peur parce que, finalement, ce silence, ce vide, ce rien nous ramène à nous-mêmes, à l'intérieur de nous. Et on vient forcément rencontrer des parts, des choses qui sont là, qui stagnent, qui ne sont pas confortables. C'est pour ça qu'on essaie de fuir aussi.


Peut-être que tu te reconnais là-dedans… Moi je sais que je fonctionnais très fort comme ça avant ! Ça fait un petit temps quand même que j'ai mis ça en lumière et encore plus aujourd'hui. Et ça me tenait à cœur de faire cet épisode. En tout cas, j'espère pouvoir t’apporter quelques clés, une piste de réflexion en profondeur que pour que tu puisses toi-même te poser un instant et venir te questionner par rapport à tout ça, à venir ressentir surtout, encore une fois. Je t'invite à chaque fois à passer un maximum par tes sens, par tes ressentis, par ton corps aussi, parce que c'est lui qui va t'indiquer tout ça.

Quand le trop-plein d’informations mène vers la peur de rater quelque chose


C'est clair qu'aujourd'hui, on est envahis d'informations ! Même sur les réseaux sociaux, on voit des posts tout le temps. Certains postent énormément de contenus et c'est vrai qu’on se sent un peu envahis. On a peur de louper une info et déjà ça, c'est une première chose : on a peur de rater quelque chose, une opportunité ou une information. On a peur de manquer quelque chose d'important. Il y a cette peur très présente dans notre cerveau et donc il va tout faire pour tout le temps être au courant de tout. J'imagine vraiment quelqu'un qui est devant sa télé, qui zappe non-stop pour être sûr de rien rater sur toutes les chaînes. Là ça me parle pas du tout parce que j'ai plus de télé depuis quatre ans mais c'est vraiment juste pour l'image. On retrouve cette même image avec les gens qui scrollent tout le temps et qui passent leur temps sur les réseaux sociaux. Et je sais pas si c'est ton cas mais on a vraiment atteint le summum avec des espèces de réflexes où on prend le téléphone toutes les dix minutes pour certains, et on va directement sur les applis des réseaux sociaux. Alors qu'en fait, on a même pas envie d'y aller ou ce n'était pas notre première intention ! Mais ce sont des réflexes qu'on a développés et donc ça prouve vraiment que c’est comme une espèce de nourriture dont on a tout le temps besoin.


Donc je pense vraiment qu'il y a cette peur de rater quelque chose qui est très présente aussi, de louper une info ou une opportunité ou de ne pas être au courant des dernières tendances ou autre. Sur les réseaux, je pense qu’il y a aussi le fait de ne pas se laisser ces moments de vie. On ne s’autorise pas, finalement, à ne pas être sur les réseaux pendant quelques jours ou quelques semaines. Il y a aussi cette peur qu'on nous oublie - ça, c’est plus pour les créateurs de contenu qui postent régulièrement. Je pense qu'il y a vraiment cette peur profonde où on se dit “Si je prends ce temps ou cet espace pour moi, eh on va m'oublier”. C'est une peur qui est aussi très présente chez les entrepreneurs ! Je reviens sur un domaine plus large mais en général, quand on a l'impression d'avoir peur de ces moments d’espace, de rien, de vide etc., c'est très lié à cette peur de rater sa vie.


Être plus, faire moins


Je le dis souvent mais pour moi, on n'est pas du tout là pour réussir la vie. Il n’y a rien à réussir du tout ! On est là pour la VIVRE cette vie ! J'ai vraiment pu observer qu'il y a beaucoup de personnes qui ont peur et se disent “Si je ne produis pas quelque chose, si je ne suis pas dans l'action, si je ne suis pas en train de faire ci… je n'existe pas et je ne vais pas réussir.” Et ça, c'est hyper méga ancré. C'est une croyance, un conditionnement qui est énorme mais ça devient presque ancré dans les cellules. Moi j'étais vraiment comme ça avant et c'est pour ça que je peux vraiment en parler aujourd'hui. Mais il y a des personnes qui, si elles sont dans cette notion de “Vas-y, je laisse de l’espace, je m’offre ce temps, je m’autorise ces moments de vide”... Eh bien elles pensent qu’elles n’existent plus et ont donc toujours besoin d’être dans le côté productif etc. Et ça, je pense que c'est vraiment quelque chose à mettre en lumière. Il faut se dire que même quand on est dans l'être, on existe. Tout va bien, on est là. On EST, tout simplement. C’est une notion qui n'est pas facile à assimiler. Mais je trouvais assez important de mettre ça en lumière.


Attention, c’est pas juste “je suis” ou juste “je fais” : il faut vraiment créer cette nuance. Je ne dis pas qu'il faut tout le temps être dans le rien, loin de là ! On ne passe pas d'un extrême à l'autre mais il faut pouvoir se laisser un entre-deux. Parce que, quand on est dans un excès du faire ou de la productivité, qu'est-ce qu’il se passe ? On s'épuise. Et puis, quand on est dans l'excès du rien et du vide, on peut aussi stagner, s’engluer là-dedans et ne plus du tout passer à l'action. On se retrouve alors dans cette énergie qui nous tire vers le bas. Encore une fois, c’est une espèce de danse, comme une valse à créer entre les deux.


La problématique des réseaux sociaux


On a bien sûr aussi tendance à regarder énormément ce qu’il se passe à l'extérieur, à aller voir ce que font les autres, à se comparer… Et là, je vais plus revenir m’axer sur les réseaux sociaux parce que (et c'est vraiment ma réflexion du moment), j'ai un espèce de dégoût des réseaux sociaux en ce moment, pour être tout à fait transparente. Je les regarde très, très peu. En fait, je regarde plus trop ce que font les autres. J'essaye vraiment de rester focalisée sur ce que moi j'ai envie de proposer et comment j'ai envie de le proposer. Évidemment, je suis encore certaines personnes, ce qui m'intéresse vraiment, ce qui m'inspire aussi mais je trouve que c'est vraiment devenu… En gros, il y a beaucoup d'entrepreneurs qui créent du contenu pour dire de créer du contenu, pour gagner plus d'abonnés et pour avoir plus de visibilité. C’est toujours dans cette recherche de grandir encore et encore. On voit plein de réels sur “comment gagner dix mille abonnés en un mois” et je me dis “Mais où est le sens de tout ça ?”. Il faut toujours plus ! Où est finalement notre essence profonde ? Qu'est-ce qu'on a vraiment envie d'offrir au monde ? Après, on a tous des visions et des ambitions différentes. Je ne juge absolument pas mais en tout cas, on sent qu’il y a souvent derrière ça une peur derrière : une peur du rien. Le nombre de personnes qui n'osent même pas ne pas faire de stories pendant un jour juste parce qu’il y a cette peur, cette terreur presque… Elles se disent “Si je ne suis pas là un jour, on va m’oublier. Ça va tout foutre en l’air : mes projets, mon business…”. C’est fou parce que je pensais comme ça avant et depuis un an maintenant, je m'autorise à faire des pauses des réseaux de deux semaines, plusieurs fois par an. Pour apprendre à, j'ai même pas envie de dire “disparaître” mais c'est juste que voilà, je choisis de ne plus poster, de ne plus être présente. Et ces moments sont d'une richesse ! La première fois que je l’ai fait, je me souviens que c'était vraiment inconfortable. Et finalement, je me suis rendue compte à quel point c'était tellement riche. Maintenant encore, quand je m'offre ces moments où même pendant trois jours j'ai juste pas envie d'y être parce que voilà, ou je travaille pas et donc je déconnecte complètement… à chaque fois, c'est hyper porteur. Ça m'apporte énormément, ça vient m'apporter beaucoup de clarté. On verra après tous les bénéfices de créer cet espace, de rencontrer ce vide !


Mais voilà, là, c'était vraiment par rapport aux réseaux. Je voulais vraiment venir parler de tout ça. Qu’on se pose la question : est-ce que j'agis avec l'énergie de la peur ou est-ce que je le fais vraiment parce que j'ai envie, parce que ça vient de l’énergie d'amour ? Est-ce que j'ai vraiment envie de le faire ? Est-ce qu’il y a un élan qui vient du fond de mon être, de mon cœur, de mes tripes ? Ou est-ce que je le fais parce qu’on a dit que c'était bien, parce qu'il faut être dans la productivité, parce qu'il faudra le faire ? C’est une petite parenthèse, je m'éparpille un petit peu, mais de toute façon, on revient toujours au même sujet. Mais c'est important aussi, je pense, de mettre ça en lumière. J’ai l’impression que ça prend de l’ampleur aujourd’hui : on est aussi, du coup, dans du contenu rapide. Il faut que ce soit rapide parce que les gens n'ont plus le temps de lire ! Et en fait, moi je me suis vraiment posée, je me suis dit “Non, tant pis ! Je vais continuer à écrire de longs textes sous mes posts parce que j'ai envie de continuer à partager, à prendre le temps de partager”. On perd ça et c'est quelque chose qui est important pour moi en tout cas. Je me suis vraiment remise en question. OK, j'ai des périodes où je vais poster presque tous les jours sur les réseaux parce que j'ai beaucoup de créativité, beaucoup de choses à partager. Et puis, il y a des périodes où je ne vais pas poster pendant une semaine, où je vais poster deux fois... Il faut juste vraiment s’écouter et surtout, respecter ce qu'on entend. Donc voilà, petite (grande) parenthèse sur les réseaux sociaux.


Une peur du vide liée à la mort


Je ne sais plus si je l’ai déjà dit du coup (parce que je l'ai noté) mais la peur du vide est souvent extrêmement liée à la peur de la mort. Je ne vais pas m’étaler mais quand on s'autorise ces moments de vide, de rien, on se rend compte que tout va bien, on est toujours là, on existe, on est présent. Encore une fois, c'est l'ego dont l’objectif est de nous maintenir en survie. Donc plus on va envoyer le message de “Tout va bien, j'ai le droit de me laisser ces moments d’espace, j'ai le droit de m'offrir ça. Je suis toujours là, tout va bien, tout fonctionne, c'est OK”, plus on prend conscience de ça et on essaye de traverser cette peur. Je sais que ce n’est pas facile. Tu verras que ces moments-là sont assez riches et pour se les offrir, ça demande du courage évidemment d’aller contacter ce rien, ce vide.


Quand je parle de vide ou de rien, on est bien d'accord qu'il se passe toujours des choses ! Il n'y a jamais RIEN : l'énergie est toujours là. Mais je pense que tu as saisi ce que je voulais dire à travers ces termes-là. Comme je te le disais, il y a énormément de bénéfices. Maintenant, tous les jours (je pense que ça m'arrive quand même très rarement de ne pas le faire), je prends des moments où je suis juste là, assise à contempler. Je ne suis pas spécialement quelqu'un qui médite beaucoup (je le fais mais pas tous les jours). Par contre, je contemple et c’est un peu ma méditation à moi. Je contemple et je laisse juste être, je laisse faire le flux de pensées et vraiment c'est quelque chose que j'apprécie énormément aujourd'hui. Ça n’est plus du tout inconfortable et c’est devenu presque nécessaire.


Explorer des moments d’espace pour retrouver une clarté


S’autoriser ces moments est très bénéfique parce qu’il y a beaucoup de personnes qui ne prennent même pas 2 minutes par jour à simplement contempler, ressentir et juste être. Je trouve que c'est dommage qu'on en parle pas assez parce que c'est hyper puissant. Soyons honnêtes : je pense qu’on traverse tout ça. On a tous des moments comme ça où l’on se sent perdu. Ça m’est arrivé il y a deux semaines : j'étais complètement paumée, à me demander “Qu'est-ce que je veux faire ? Comment est-ce que je veux proposer tout ça ?”. Je me questionnais sur ma manière de fonctionner, sur le sens de tous ces réseaux sociaux etc. En fait, je me sentais tellement encombrée au niveau du mental que je me suis offert justement ces moments de rien, de vide, d’espace, et tout s'est clarifié. Le fait d'avoir arrêté de regarder trop à l'extérieur, ça m’a permis de me recentrer à l'intérieur et de déterminer ce que j’avais vraiment envie, moi, de proposer. C’est là que ça s'est clarifié. Donc le fait de laisser cet espace, ça amène une grande clarté mentale ! Mais souvent, on agit complètement à l’envers : quand on se sent encombré, qu’on a des blocages ou des nœuds, qu'on n'arrive pas à trouver une solution à une situation ou autre, on va générer. On va justement réfléchir, faire des listes, en parler à tout le monde, essayer de trouver la solution au plus vite et là, on est dans le faire. On s’encombre encore plus, tandis que quand on laisse cet espace, c'est comme si la réponse venait à nous. C'est notre intuition qui vient nous murmurer à l'oreille ce dont on a profondément besoin ! Et je t’invite vraiment à explorer ça, à expérimenter ces moments, ces espaces, cette liberté aussi finalement, parce que c'est ça ! C'est vraiment s'offrir ces moments de liberté pleinement, parce que c'est assez ouf ce qu’il se passe en général. Et donc ça vient un peu comme sur un plateau d'argent. À chaque fois, je trouve ça assez hallucinant. C’est vraiment l’intuition qui va apporter des réponses et une vision plus claire parce que c'est tellement facile aujourd'hui de se faire influencer. On a entendu qu’il “fallait faire ça” (peu importe les domaines), tout le monde vient mettre son petit grain de sel ! Alors, c'est chouette d'écouter les conseils parce que c’est parfois très bénéfique mais souvent, on s'encombre et on se charge énormément d'informations au lieu de justement laisser ces moments, ces espaces où finalement les réponses sont en nous.


Tout est déjà là, en toi !


Donc ça permet évidemment de trier les pensées, ça c'est sûr, et de se reconnecter à son cœur, ses désirs, ce qu’on veut et pas ce qu’il serait bien de faire ou ce que la société nous demande. Et ça, c'est vraiment quelque chose de très précieux. Je dis souvent que “tout est déjà là” et c’est pour ça que je ne parle jamais de “développement personnel”. J’en parle beaucoup dans mon livre Éclosion aussi, qui est une invitation profonde à revenir à soi et à éclore de l'intérieur : tout est là en nous et le tout, c'est d'aller justement dépouiller, enlever les couches, lever les voiles, les masques etc. Parfois, bien sûr, on a besoin d'un petit coup de pouce extérieur et ce n’est pas ça le problème. Il ne faut pas aller dans les extrêmes non plus ! Mais en tout cas, plus on crée ces espaces, plus on est apte à recevoir les réponses. Et puis, ces moments nous permettent aussi de savourer, de vraiment juste être dans cette contemplation. Ils nous ramènent aussi à nos sensations, nos ressentis et on peut se reconnecter. Dans cet instant, on est plein de reconnaissance, on prend conscience de tout ce qui est déjà là. Sinon, j'ai l'impression qu'on est vraiment tout le temps dans cette course du toujours plus, du manque, avec cette peur de l'insécurité. C’est pour camoufler ces peurs d’insécurité et ce manque, qu’on va tout le temps être dans le faire. Et on a toujours l'impression qu'il faut faire, faire plus, produire plus, être plus. Mais c’est pour combler ses peurs qui sont présentes. Tandis que quand on se laisse ces espaces, on se rend compte qu'il y a déjà tellement d'abondance en nous et autour de nous, et je trouve ça absolument magique ! Ça nous ramène finalement à l'essence, à l'essence de nous-mêmes, de la vie, à ce qui compte vraiment pour nous. Ça vient aussi chambouler forcément, puisque l’on est tellement en train de suivre parfois des dogmes, des stratégies ou des façons de vivre ou de faire qui sont des injonctions externes ! Et quand on revient à soi, forcément on se pose des questions donc ça vient remettre plein de choses en lumière. Mais c'est toujours, je trouve, des belles phases de transformation et d'introspection. Encore une fois, je t'invite vraiment à t’offrir ces espaces sans aucune attente derrière parce que là, moi, je te parle des bienfaits mais en même temps, j'ai vraiment juste envie de dire “Laisse faire !”. Ne te dis pas “Je vais laisser de l’espace parce qu'il me faut une réponse”, c'est pas du tout ça ! C'est vraiment se laisser de l’espace parce qu’on en a besoin. Je fais confiance à la vie, je vois ce qu’il se passe et tout est parfait.


Forcément, j'utilise moi beaucoup la danse libre pour complètement laisser faire le corps et ce sont des moments où je fais quelque chose techniquement puisque je danse, mais en tout cas sans aucune recherche de quoi que ce soit. Et c'est vrai que c'est assez fou ce qu’il se passe aussi dans ces moments-là !


Je pense que j'ai bien fait le tour du sujet. Il y a de quoi faire ! Je pourrais en parler des heures et des heures je pense et j'ai essayé d'être un peu structurée quand même. En tout cas, je t'invite à aller traverser cette peur du vide, cette peur du rien, parce que c'est pas pour rien non plus que la vie vient parfois nous amener à ça. Qu’on tombe malade ou que l’entreprise où l’on travaille ferme soudainement ses portes… On se retrouve dans des moments de doute où l’on se demande ce qu’il va se passer, où l’on pense que tout va s’effondrer. Encore une fois, il faut juste changer de lunettes de vie, changer les perceptions et voir comment on peut appréhender, vivre et traverser ces espaces et ces moments de vie.


N'hésite pas à partager ton expérience et tes réflexions par rapport à tout ça : je serais ravie de te lire ! Et puis on se dit à très vite pour un prochain épisode. N'hésite pas à liker, à partager, à mettre aussi des petites étoiles sur Spotify pour soutenir tout le travail qui est fait ici sur ce podcast du “Mouvement intérieur” et à la semaine prochaine ! Prends soin de toi et surtout, ose rayonner ! Je t'embrasse.

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